Il se présente dans l’enceinte fortifiée en terrain connu et crinière blanche … Un artiste ? Pas du tout. Quelques minutes plus tard le voilà sur le ponton du décor, avec une canne à pêche, un hameçon coloré et une petite boîte …
Vincent lui donne quelques explications pour l’inciter à se déplacer, l’installation étant précaire et sa présence inappropriée … Le pêcheur solitaire rejoint la prairie voisine pour poser sa gaule et nous observer … Insolite …
Irma la douce, telle une Marie Madeleine, évoque un homme sauvé des eaux … Qui sort de l’eau ? Qui marche sur l’eau ? Elle en perturbe douze autres, rampants et haletants. Séductrice presque pécheresse …
La Vienne est haute ce premier dimanche de Juillet, alta agua comme on dit à Venise, pourtant aujourd’hui c’est une « allemande », et pas une « italienne », une répétition des enchaînements en accéléré, sans les textes.
Reste la fanfare pour nous embarquer sur un tapis volant … et nous aider ensuite à rouler sur le sable …Parfois c’est triste d’atterrir…
Répétition sous les parapluies … Les affiches ne sont pas décollées, le piquenique bien arrosé, l’ambiance assurée, soyez pas « écramollés » lance Jean Marie, on comprend bien l’image ; un peu de dynamisme bon sang !!! On cherche Jacques, retardé par une urgence biologique, le mot de Richard restera : une « jacquitte » … on est bien au bord de l’eau !
Mary Kang